Crise, plafond de verre, JO, Afrique… Les ESSEC dans les médias
Prises de position de dirigeant(e)s, portraits de diplômé(e)s exemplaires ou atypiques, avis d'expert(e)s sur l’économie… Les ESSEC ont été très visibles dans les médias depuis la rentrée. Tour d’horizon.
Sur RMC, Geoffroy Roux de Bézieux (E84), patron du MEDEF, craint « un écroulement de l’économie française » en cas de reconfinement. « En mars, on était en pleine croissance, les entreprises étaient en bonne santé financière, elles ont résisté au choc en se disant qu’elles s’en sortiraient derrière. » Sans minimiser la gravité de la crise sanitaire, il affirme que les entreprises ne sont pas les premiers vecteurs de l'épidémie, en citant comme source un membre du conseil scientifique, et appelle en conséquence à continuer à travailler. À voir ici.
Dans Les Échos, Myriam Cohen-Welgryn (E88), nouvelle présidente de la division Cosmétique Active de L'Oréal et auteure de l’ouvrage Et tu oseras sortir du cadre !, livre quelques clés pour permettre aux femmes de s'épanouir et de progresser en entreprise. Elle prévient notamment : « Les femmes doivent déjouer certains biais de personnalité. » À lire ici. (Retrouvez aussi son interview par ESSEC Alumni en cliquant ici.)
Les Échos publient un portrait d’Emmanuel Moulin (E92), directeur de cabinet de Bruno Le Maire, à l’occasion de sa nomination à la Direction générale du Trésor. Le haut fonctionnaire est décrit comme un « vétéran des crises financières », lui qui a conseillé Christine Lagarde et Nicolas Sarkozy pendant la crise des subprimes. Une expérience qui devrait lui être utile alors que l’économie française subit de plein fouet le choc du COVID-19. À lire ici.
Dans Madame Figaro, Nathalie Collin (E88), DGA du Groupe La Poste en charge de la branche numérique et de la communication, assure que « la meilleure arme face à la crise est l’innovation, à condition qu’elle soit accessible et au service du plus grand nombre. » Une profession de foi qui se veut aussi un contrepoids aux acteurs dominants de la tech : « Les GAFAs sont peut-être innovants, mais ils n’ont rien de moderne. » À lire ici.
L’Équipe salue la nomination par Jean Castex de Michel Cadot (E75), jusque là préfet de Paris et d’Île-de-France, au poste de délégué interministériel aux Jeux Olympiques et Paralympiques. Sa mission : procéder aux arbitrages budgétaires nécessaires pour l’organisation des prochains JO dans la capitale. Cela promet des échanges à bâtons rompus avec son camarade Tony Estanguet (M07), président de Paris 2024 – qui annonce d’ailleurs déjà, dans le même journal, la réduction du nombre de sites qui accueilleront des épreuves. À lire ici et ici.
Dans L’Opinion, Véronique Bédague-Hamilius (E87), DG déléguée de Nexity, raconte un moment clé de sa carrière : celui où elle a quitté Matignon, où elle officiait comme directrice de cabinet du Premier ministre Manuel Valls depuis 3 ans, et plus largement la fonction publique, où elle évoluait depuis 30 ans, pour passer dans le privé. Un risque important mais calculé, qui a payé ! À lire ici.
Dans Le Point, Momar Nguer (E82), conseiller du PDG de Total, propose une piste originale pour refonder les relations entre la France et les pays africains, et sortir définitivement de la logique de la Françafrique : « créer des coentreprises franco-africaines pour en faire des championnes à l'échelle de l'Afrique. » À lire ici.
Dans Le Monde, Gilles Pélisson (E79), PDG du Groupe TF1, affirme que la directive européenne sur les services de médias audiovisuels « offre l’occasion de moderniser le financement de la création française. » Enjeu à la clé : garantir l’équité entre les grands diffuseurs, et corriger le déséquilibre avec les plateformes comme Netflix. À lire ici. (Retrouvez aussi son interview par ESSEC Alumni en cliquant ici.)
Sur le site L’Usine Nouvelle, Anne-Charlotte Deroure Fredenucci (E98), présidente du groupe Ametra, s’associe à l’appel des 30 pour l’industrie en se prononçant pour un allègement supplémentaire des impôts de production, condition sine qua non selon elle pour relancer l’emploi français. À lire ici. (Retrouvez aussi son interview par ESSEC Alumni en cliquant ici.)
Dans Le Figaro, Yves Perrier (E76), DG d’Amundi, joint sa voix à celle de Jean-Dominique Senard, président du CA de Renault, et exhorte le capitalisme européen à se responsabiliser pour s’adapter à la crise actuelle. « La conjoncture qui s’ouvre doit être envisagée non pas tant par rapport à un passé qu’il faudrait rétablir et auquel on a adressé suffisamment de critiques, que par rapport à l’avenir qu’il nous faut construire. » À lire ici.
Dans La Tribune, Fabien Versavau (B13), PDG de Rakuten France, s’interroge : comment réconcilier consommation et environnement ? Et répond en recommandant une « transparence émancipatrice » pour donner au client le pouvoir de choisir et d’agir en conscience. « En intégrant la notion de responsabilité dans l'expérience client, nous redonnerons du sens à nos achats et des perspectives à notre économie. » À lire ici.
Dans Les Échos, Bruno Patino (E90), président d'Arte France, présente son projet pour la chaîne culturelle franco-allemande : « Arte veut accentuer sa présence dans plusieurs pays d'Europe assez rapidement. » Il revient aussi sur les bouleversements du paysage audiovisuel partout dans le monde avec la montée en puissance des plateformes de SVoD. À lire ici.
Dans Les Échos, Emmanuelle Duez (E12), fondatrice de The Boson Project, partage avec les lecteurs une grande leçon de leadership qu’elle a elle-même reçue lors d’une rencontre qui l’a marquée : « On ne peut être un chef sans aimer profondément ses subordonnés. Et l’amour en entreprise est possible… Dans le monde d’après, il sera nécessaire, d’abord pour reconstruire et ressouder un collectif brisé mais aussi car ne seront suivis dans un monde d’incertitudes que les leaders alignés, vrais, sensibles. » À lire ici. (Retrouvez aussi l’article d’ESSEC Alumni sur The Boson Project en cliquant ici.)
Le Figaro consacre un article à Franck Annese (E00), « touche à tout des médias » qui « défie les lois de la presse ». Le journal en veut pour preuve le succès de son enquête sur Xavier Dupont de Ligonnès, parue cet été dans son magazine Society, et vendue à plus de 400 000 exemplaires. À lire ici. (Retrouvez aussi son interview par ESSEC Alumni en cliquant ici.)
Le magazine Décideurs salue le succès de Rodolphe Carle (E99), cofondateur du groupe Babilou, qui s’apprête à revendre son réseau international de crèches à un fonds d’investissement. Une belle conclusion pour une aventure commencée il y a plus de 15 ans, et qui a vu l’entreprise atteindre 600 millions d’euros de chiffre d’affaires, recruter 10 000 salariés et s’implanter dans 13 pays. À lire ici.
Dans Le Temps, Eva Thelisson (M03), juriste et cofondatrice d’AI Transparency Institute, plaide pour une intelligence artificielle respectueuse des valeurs démocratiques. « Il importe de réfléchir aux conséquences de l’IA sur la polarisation des goûts et des opinions. Les algorithmes influencent notre compréhension du monde et nos décisions. » À lire ici.
Dans Challenges, Boris Walbaum (E94), co-fondateur du programme Forward College et de l’association Article 1 qui agissent pour l’égalité des chances dans l’éducation, affirme : « Les étudiants qui deviendront leaders dans le futur ne seront plus ceux qui auront été juste de bons élèves. Mais ceux qui auront su développer en plus l’intelligence sociale pour connecter et mobiliser, l’intelligence émotionnelle pour comprendre l’autre et créer, l’intelligence technologique pour interagir avec les machines et ceux qui les conçoivent. » Et présente des solutions pour y parvenir. À lire ici. (Retrouvez aussi l’article d’ESSEC Alumni sur Article 1 en cliquant ici.)
Dans Harvard Business Review, Isabelle Sathicq (E85), co-fondatrice du cabinet de coaching et d’outplacement Cap Dirigeant, explique pourquoi donner une suite positive à une demande d’entretien réseau. Parmi ses 10 arguments : « l’entretien est une source d’informations riches pour vous également » et « vous développez votre propre réseau et préparez votre propre carrière. » À lire ici.
Dans Le Monde, l’avocat Alexandre Avrillon (E09) explique pourquoi la législation actuelle avantage la plateforme Amazon face aux marchands en ligne, et comment équilibrer ce rapport de force sur le plan juridique. À lire ici. (Retrouve aussi l’article d’ESSEC Alumni sur le cabinet Avrillon Huet en cliquant ici.)
Le journal 20 Minutes retrace le parcours de Mathilde Johansson (M17), ancienne joueuse professionnelle de tennis (59ème mondiale) devenue responsable du pôle intégration aux Girondins de Bordeaux après une formation à l’ESSEC. Son rôle : intégrer les nouveaux joueurs du célèbre club de football. Un poste rare en France, mais important, car il vise à faciliter l’adaptation culturelle dans un milieu où les professionnels (et leurs familles) passent d’un pays à l’autre au gré du mercato, souvent sans avoir leur mot à dire. À lire ici.
À l’occasion du procès des attentats de janvier 2015, France Inter rend hommage à Michel Saada (E75), qui figure parmi les victimes de l'Hyper Casher. « Optimiste de nature, il disait toujours “profite, ne regarde pas derrière”, se souviennent encore ses proches. » À lire ici.
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Image : © Freepik
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