Liberté d’expression, femmes de la tech… 5 ESSEC font le buzz
Tous les jours ou presque, des ESSEC se distinguent dans les médias. Revue de presse - sélective - des dernières semaines !
Johan Weisz-Myara (E08) lance un appel aux dons dans Le Monde pour préserver l’indépendance de StreetPress, média en ligne qu’il a créé il y a 10 ans, et qui se distingue par son journalisme engagé. Une demande de soutien qui a une résonance particulière à l’heure où la liberté de la presse connaît de nombreux reculs dans le monde.
Comme en écho, Christophe Deloire (E94) s’alarme, toujours dans Le Monde, des pressions croissantes qui pèsent sur les journalistes, menaçant la liberté d’expression. Et propose des solutions pour sortir de l’ornière. À bon entendeur !
Le Figaro consacre un portrait à Nathalie Collin (E88), directrice générale adjointe en charge du numérique à La Poste numérique. Une plongée passionnante dans la carrière de cette femme de la tech, notamment passée par le Conseil national du numérique ainsi que la direction générale de Libération et du Nouvel Observateur.
Samuel Maruta (E99) relate dans Paris Match comment la chocolaterie artisanale qu’il a co-fondée au Vietnam en est venue à fournir des pâtissiers aussi célèbres que Patrick Roger et Christophe Michalak.
Philippe Bloch (E82), auteur du lexique anti-déprime Ne me dites plus jamais bon courage !, dresse la liste des expressions à proscrire au travail dans Le Parisien. Parmi celles-ci : « on se fait un call » et « je peux pas je suis charrette », qui apparemment irritent tout le monde. Heureusement on peut toujours vous souhaiter bonne lecture !
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Illustration : Samuel Maruta (E99), Nathalie Collin (E88), Christophe Deloire (E94) et Philippe Bloch (E82)
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