Transition environnementale, coaching augmenté, reconversion… Les entrepreneurs ESSEC dans les médias
De la lutte anti-gaspi au coaching augmenté en passant par les cosmétiques écoresponsables et même par la boucherie : tour d’horizon des entrepreneurs ESSEC qui ont fait l’actu dans les médias ces dernières semaines.
Sur BFM TV, Pierre-Emmanuel Saint Esprit (E16), détaille l’urgence à laquelle répond sa start-up Zack, qui valorise les déchets électroniques des entreprises et des particuliers. « Ces déchets représentent 54 millions de tonnes aujourd’hui, 74 millions de tonnes d’ici 2030 – une estimation établie avant la crise du COVID-19, qui a accéléré la tendance avec la nécessité d’équiper massivement les salariés en télétravail. » Et la loi s’avère souvent impuissante face à ce gâchis. « On manque des outils pour vérifier que les réglementations comme la loi contre l’obsolescence programmée sont appliquées. Il faut une transformation systémique du marché, en défendant notamment le droit à la réparation. » Vidéo à voir ici.
Dans WE Demain, Charles Lottmann (E11) raconte comment il est passé d’un poste en fonds d’investissement à la création de NOUS anti-gaspi, chaîne d’épicerie qui donne une seconde chance aux produits dits « moches », refusés dans les enseignes classiques, en les vendant à prix réduit. « Plus de la moitié du gaspillage alimentaire a lieu en amont des magasins, chez les producteurs, fabricants, grossistes, transporteurs. Lutter contre ce gâchis a un double impact : écologique, en réduisant la production et la pollution alimentaire, et économique, en permettant à des foyers modestes d’accéder à des produits de qualité, tout en aidant les fabricants à limiter leurs pertes. » La marque compte déjà près d’une vingtaine d’adresses en France. Article à lire ici.
Sur Bsmart, Ludovic de Gromard (E11), co-fondateur de la plateforme de coaching augmenté Chance, témoigne de la crise de sens qui traverse un nombre toujours plus important d’actifs. « Chaque jour, des centaines de personnes – et pas seulement des cadres – nous disent qu’ils ne sont plus alignés sur leurs choix professionnels, et que ceux-ci leur ont été dictés par leur entourage. Il y a une grande soif de liberté, et aussi une forte prise de conscience sociale et environnementale qui nourrit des désirs de reconversion ou de repositionnement. » Sans oublier l’évolution accélérée des métiers : « Le Ministère du Travail américain prédit que les gens qui entrent sur le marché de l’emploi aujourd’hui changeront douze fois d’activité dans leur vie. » Vidéo à voir ici (Découvrez aussi le partenariat Chance - ESSEC Alumni en cliquant ici.)
Sur BFM TV, Pierre Wansek (EXEC PROG 01), co-fondateur de Kisaco, explique comment fonctionne son comparatif d'impact environnemental de 150 000 produits alimentaires et 1500 produits cosmétiques. « Nous mesurons trois impacts : sur l’air, l’eau et les ressources non renouvelables, tout au long du cycle de vie du produit, en nous intéressant autant au contenu qu’au contenant, et en mêlant rapports d’organismes spécialisés, recherches auprès des fabricants et distributeurs, et constitution de bases d’informations spécifiques au transport et aux emballages. » Une offre qui vient compléter celle, plus développée, des comparatifs d’impact santé. Vidéo à voir ici.
Dans Les Échos, Benjamin Tixier (BBA 13) raconte sa reconversion avec son associé Roland de Linarès : « Consultants à Paris, nous sommes devenus bouchers. » Non par quête de sens ou volonté de quitter un système, mais par intérêt pour les bons produits et pour le savoir-faire du métier. « D'une carcasse de boeuf de 200 kilos à un steak-haché, il y a des heures de travail. » Article à lire ici.
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Image : © AdobeStock
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