Du coliving aux dark kitchens en passant par le zéro déchet : les entrepreneurs ESSEC ont fait la démonstration de leur esprit pionnier dans les médias ces dernières semaines. Tour d’horizon.

Sur BFM TV, Alexandre Eruimy (E10) répond aux questions de Christophe Jakubyszyn (E90) sur son entreprise Prestashop, qui s’est démarquée en 2020 grâce à ses solutions pour accélérer la digitalisation des commerçants face à la crise du COVID-19. Confiant, il affirme : « Le numérique va permettre la reprise de l’économie française. » Vidéo complète à voir ici.

Les Échos annoncent que Breega, fonds co-fondé par Ben Marrel (E06) et spécialisé dans l'amorçage et la série A, boucle son troisième véhicule d'investissement depuis 2015 pour un montant total de 110 millions d'euros. « En six ans, nous avons observé et accompagné l'évolution de l'écosystème français. Nous manquions de tout, d'entrepreneurs, de VC… et désormais de plus en plus de gens s'intéressent à ce que nous faisons, les dossiers que nous étudions sont de plus en plus ambitieux. » Article complet à lire ici. (Retrouvez aussi l’article d’ESSEC Alumni sur Breega en cliquant ici.)

Capital met à l’honneur Amaury Courbon (E12), Alexandre Martin (E12) et François Roth (E12), co-fondateurs de Colonies, opérateur de résidences en co-living dédiées aux jeunes actifs, « pas assez riches pour trouver un logement de qualité à prix abordable, trop aisés pour bénéficier des APL. » La start-up compte déjà 22 résidences et « zéro impayé ». Des débuts prometteurs qui lui ont déjà permis de lever près de 200 M €. Article complet à lire ici.

Sur France 2, Florian Blanc (E09) célèbre le succès de son application de dons d’objets entre particuliers Geev, quatre ans après son premier passage sur la chaîne hertzienne : « Le service a bien grandi avec plus de 2,5 millions d'utilisateurs et 7 millions de dons postés ! » Vidéo complète à voir ici (après inscription gratuite, à partir de 2:49:45).

Dans Les Échos, Jean Valfort (E10), fondateur de Panorama Group, revisite la stratégie de son groupe de restauration en déployant des dark kitchens en franchise et en lançant un service de livraison de produits d’épicerie en click & collect. « Avec l'émergence de nouveaux acteurs, il fallait se renouveler. L'objectif est de proposer un modèle plus omnicanal. Tout en gardant en tête que ce qui marche le mieux relève de la 'comfort food'. » Article complet à lire ici. (Retrouvez aussi l’interview de Jean Valfort par ESSEC Alumni en cliquant ici.)

France 2 parle de REV Society, co-fondée par Aurore Jacques (E20). « Cette jeune marque propose des collants conçus et fabriqués en France, avec du nylon obtenu à partir de déchets industriels de filatures textiles, dont la production nécessite 80 % d’énergie et 55 % d’eau en moins que celle d’un collant classique. »  Vidéo complète à voir ici. (Avec ESSEC Alumni, bénéficiez de 10 % de réduction sur votre première commande chez REV Society ! Toute l’offre ici.)

TF1 met en avant Joko, start-up co-fondée par Nicolas Salat-Baroux (E18) qui transforme les cartes de crédit en cartes de fidélité : « Sur la base de leurs informations bancaires, les entreprises vont pouvoir faire des offres aux gens qui ne sont plus clients depuis trois mois, ou à ceux qui ne le sont pas encore. » Et cela fonctionne : déjà 1000 entreprises se sont associées à l’application. Extrait de la vidéo à voir ici.

Le Figaro met à l’honneur Gleeph, « le réseau social pour les amoureux du livre », co-fondé par Guillaume Debaig (E92). « Cette application gratuite compte aujourd'hui plus de 310.000 utilisateurs actifs, qui partagent entre eux leurs expériences de lectures. Avec près de 11 millions de livres déposés virtuellement, Gleeph devient ainsi la plus importante base de données existante sur les bibliothèques privées des Français. » De quoi intéresser également les éditeurs et distributeurs du secteur. Article complet à lire ici.

Dans Les Échos, Johann Molinari (E09) témoigne de ses expériences chez Google et Waze, qui l’ont poussé à créer avec Quentin Demeestère (E09) Popwork, outil facilitant la collaboration entre managers et équipes : « La culture de travail dans ce type d'entreprise est le manque de temps. Les sujets fusent dans tous les sens, et comme les managers sont aussi producteurs, il devient très complexe d'assurer un suivi et de tenir tous les engagements. » Extrait de l’article à lire ici.

Dans Madame Figaro, Fanny Saulay (E10), co-fondatrice de Wilo & Grove, expose comment elle concilie sa vie d’entrepreneure et sa vie personnelle. « En quittant nos jobs pour monter notre galerie d’art nouvelle génération, on pensait gagner en flexibilité. En réalité, il est difficile de se mettre des limites. Quand on est passionné, on ne s’arrête jamais. » Article complet et vidéo à consulter ici. (Retrouvez aussi l’article d’ESSEC Alumni sur Wilo & Grove en cliquant ici.)

Jeune Afrique consacre un portrait à Kenza Lahlou (M12), fondatrice d’Outlierz Ventures au Maroc. « Rares sont les sociétés de capital-risque véritablement africaines qui font parler d’elles. Encore plus rares sont celles dirigées par une femme. Pionnière de l’écosystème marocain, cette ingénieure formée en France et à Singapour dispose d’un portefeuille de huit start-up avec des actifs sous gestion d’un montant estimé entre 5 et 10 millions de dollars. » Article complet à lire ici. (Retrouvez aussi l’article d’ESSEC Alumni sur Outlierz Ventures en cliquant ici.)

Sur Maddyness, Damien Guermonprez (M89), président de Lemonway et business angel parmi les plus actifs de France, livre ses conseils aux startups pour réussir leurs différentes levées de fonds, au fil de leur développement, de la phase d’amorçage à la série B. « En Seed, concentrez-vous sur votre produit. En série A, adaptez votre organisation aux nouveaux enjeux. En série B, maximisez votre croissance. » Article complet à lire ici. (Retrouvez aussi son interview par ESSEC Alumni en cliquant ici.) 

Dans Elle, Mathilde Bignon (E12), co-fondatrice du café fleuriste Désirée à Paris, relate le pari fou de sa reconversion : réinventer la filière horticole, « à la fois déstructurée, industrialisée et dénaturée », en proposant des fleurs françaises, élevées dans des sols propres, sans engrais et de saison. Article complet à lire ici.

Sur France Culture, Julien Ponceblanc (E02), créateur des potages Greenshoot et auteur du Journal d'un amoureux des soupes, partage sa passion culinaire avec les auditeurs : « C'est un plat dont j'aime à dire qu'il est des quatre saisons. C'est ce qui fait sa richesse. On peut d'ailleurs parler de bouillon, de velouté, de consommé, de potage de gaspachos… J'ai même présenté dans mon livre une ‘soupe tiède’, comme un pied-de-nez, pour dire qu’on peut la consommer de toutes les manières possibles. » Émission complète à écouter ici. (Retrouvez aussi les articles d’ESSEC Alumni sur le Journal d'un amoureux des soupes en cliquant ici et sur Greenshoot en cliquant ici.)

Sur B Smart, Pierre-Emmanuel Saint-Esprit (E16), co-fondateur de Zack, alerte contre la pollution tech : « Aujourd’hui, on jette 54 millions de tonnes de produits électroniques chaque année. Un chiffre qui devrait monter jusqu’à 70 millions en 2030. » D’où son engagement avec sa start-up qui offre « la meilleure seconde vie » à ces produits – selon les cas : revente, don à une association, réparation ou recyclage. Vidéo complète à voir ici (à partir de 12 :45).

Sur B Smart, Audrey Destang (E14), co-fondatrice de Popee, raconte comment elle a réussi à développer avec succès une marque de papiers d'hygiène 100 % recyclé, 100 % français et 100 % sans chlore malgré l’hégémonie historique des acteurs industriels du secteur. Vidéo complète à voir ici.

Sur CGTN, Harold Parisot (BBA 00) présente le Chinese Business Club, club d’affaires franco-chinois qu’il a créé et qui rassemble plus de 100 entreprises membres, et évoque les – nombreuses – différences entre les mentalités françaises et chinoises dans le monde du business. « En France, on tend à éviter de faire des affaires avec son entourage proche. En Chine, on préfère s’associer à sa famille et ses amis. Autre exemple : les cadeaux d’affaires. En France, on les offre en fin d’année ou en remerciement. En Chine, on les donne plutôt à des prospects. » Et ainsi de suite. Vidéo complète à voir ici.

Sur B Smart, Harold Guillemin (M19), fondateur de FinX, dévoile son moteur de bateau à nageoires, sans hélice et 100 % électrique. Une véritable révolution technologique pour la navigation – et pour la protection de l’environnement maritime. « Notre dispositif offre trois grands avantages : une économie d’énergie, une sécurité maximale, un entretien réduit. » Vidéo complète à voir ici.

Sur B Smart, Sébastien Bencherqui (BBA 13), co-fondateur de Bubblz, défend sa solution pour automatiser les activités récurrentes en entreprise comme l’envoi de mails ou de relances et le partage de fichiers. « En quelques heures, nous modélisons vos tâches les plus répétitives, et nous concevons un logiciel dédié no-code sur-mesure. De quoi fluidifier vos processus et permettre à vos salariés de se concentrer sur des missions à plus grande valeur ajoutée. » Vidéo complète à voir ici. (Retrouvez aussi son interview par ESSEC Alumni en cliquant ici.)

Sur Nextep, Axelle Ayad N’Ciri (M19) explique pourquoi elle a lancé Mapatho, solution aidant les patients atteints de maladies chroniques à identifier les spécialistes de leur pathologie dans leur région et à mettre en place le parcours de soins adapté à leurs besoins spécifiques. « J’ai moi-même été diagnostiquée d’une endométriose. D’abord, mon gastroentérologue n’a pas été en mesure de m’orienter vers un spécialiste. Ensuite, j’ai dû partir en Chine et j’ai été confrontée à la rupture de mon parcours de soins. En parallèle, je me suis rendue compte que l’industrie pharmaceutique identifiait les spécialistes en fonction de leurs pathologies d’expertise. » Ne restait plus qu’à rendre ces informations clés accessibles aux patients… Article complet à lire ici.

Sur Touléco, l’entrepreneur social Jean Moreau (E07) affirme : « Il existe une autre voie pour les entrepreneurs qui s’intéressent à l’intérêt général. » La preuve, il a lui-même co-fondé la plateforme et l’application anti-gaspillage Phenix, qui connaît une croissance exponentielle depuis plusieurs années, et il a pris la coprésidence du mouvement Impact France, qui regroupe 1200 entrepreneurs s’engageant pour la compensation financière de leur impact écologique ainsi que pour un certain nombre de sujets sociaux. Article complet à lire ici. (Retrouvez aussi l’interview de Jean Moreau par ESSEC Alumni en cliquant ici.)

Les Horizons s’intéressent aux Marmites Volantes, service de restauration responsable co-fondé par Lelio Lemoine (E10), qui mise sur le zéro-déchet, les circuits de proximité, les produits frais, bios et de saison, ainsi que les livraisons à vélo et le compost de biodéchets. « Un modèle assez unique en France qui pourrait aussi donner des idées à de futurs restaurateurs soucieux d’allier plaisir gustatif et durabilité. » Article complet à lire ici.

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