Économie française, secrets de patrons, Paris 2024… Les ESSEC dans les médias

Dirigeants en France et à l’international, citoyens engagés, experts, entrepreneurs, figures du sport et de la culture… Les ESSEC font l’actu dans tous les domaines ! Revue de presse.

Dirigeants 

Dans Les Échos, Pierre-André de Chalendar (E79), président de Saint-Gobain et président d’honneur du nouveau Club Industrie d’ESSEC Alumni, propose de changer de perspective pour dépasser les fractures politiques actuelles : « Si la récente séquence électorale a laissé en suspens les questions économiques, c'est bien de l'entreprise que les Français attendent de plus en plus souvent des réponses. Actons enfin ce changement de regard et travaillons à la suite ! »
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Dans Le Point, Nicolas Hiéronimus (E85), président-directeur général de L’Oréal, se prête au jeu de « l’interview intime des grands patrons » et dévoile sa routine professionnelle. Où on découvre notamment qu’il passe 12 heures par jour au bureau, qu’il limite la durée de ses 6 ou 7 réunions quotidiennes à 45 minutes et le nombre de participants à 6 maximum, qu’il prend une décision stratégique importante toutes les 2 heures environ, qu’il voyage 2 semaines par mois et qu’il affiche déjà 40 ans de carrière au sein du groupe leader mondial de la beauté.
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Forbes fait entrer Philippe Bénacin (E83), co-fondateur d’Interparfums avec Jean Madar (E83), dans son classement annuel des milliardaires. Il est en effet devenu la 52^e fortune de France après avoir enregistré un chiffre d’affaire de 798,5 millions d’euros en 2023. « Présente dans plus de 100 pays, son entreprise crée, fabrique et distribue des parfums de prestige et des cosmétiques sur la base de contrats de licence mondiaux et exclusifs sous les marques Boucheron, Coach, Jimmy Choo, Karl Lagerfeld, Kate Spade, Moncler, Monblanc, et bien d’autres. »
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Le Monde révèle que Guy Delcourt (E80) est entré en négociation avec le numéro deux français de l’édition, Editis, pour lui vendre son groupe éponyme et emblématique, spécialiste de la bande dessinée et du manga. « Avec un chiffre d’affaires de 104 millions d’euros en 2023 et une équipe de 145 salariés, Delcourt publie près de 700 nouveautés par an et se targue de 13 000 titres au catalogue. Parmi ses séries vendues entre 4,5 millions et 10 millions d’exemplaires figurent Les légendaires, Les Blagues de Toto, Walking Dead ou Le Monde d’Aquilon. »
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Dans Le Figaro, Benoît Coquart (M95), directeur général de Legrand, prévient : « Une taxe temporaire sur les profits ne suffira pas à régler le problème de la dette. Le vrai sujet n’est pas la fiscalité, c’est de définir une politique publique qui permette de bien dépenser notre argent. »
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L’Obs divulgue le rôle méconnu qu’a joué Olivier Sichel (E89), directeur général délégué de la Banque des Territoires, dans l’amende record (2,4 milliards d’euros !) infligée à Google par la Cour de justice de l’Union européenne pour abus de position dominante. « Cette confirmation en dernière instance clôt près de 15 ans de batailles judicaires que j’ai menées au nom des comparateurs de prix victimes de ces abus. Le processus était simple : le moteur de recherche privilégiait son propre guide, Google Shopping, et déclassait ses concurrents. »
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Dans Les Échos, Arnaud Gangloff (E92), président-directeur général de Kéa et membre du conseil d'administration d'ESSEC Alumni, annonce racheter le spécialiste des données Veltys et affiche son ambition de challenger les cabinets de conseil anglo-saxons. « En quatre ans, l’entreprise a doublé de taille et vise les 100 millions d'euros de chiffre d'affaires d'ici deux ans. »
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Dans WWD, Aïda Moudachirou-Rébois (E02), Senior Vice President & Global General Manager de MAC Cosmetics, célèbre les 40 ans de la marque – ainsi qu’un autre beau chiffre : depuis 1994, l’entreprise a collecté pas moins de 500 millions de dollars pour des organisations soutenant les femmes et les jeunes filles, la communauté LGBTQIA+ et les personnes affectées par le VIH/SIDA.
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Le Monde met à l’honneur l’autre « chef d’orchestre » de Paris 2024, aux côtés de Tony Estanguet (EXEC M07) : Michel Cadot (E75), délégué interministériel aux Jeux olympiques et paralympiques, qui « a réussi à faire jouer une partition commune » à tous les acteurs du projet. « La Cour des comptes a fait de lui, dans ses recommandations, la poutre maîtresse des Jeux. Et la loi olympique de mai 2023 a même prévu une dérogation à la limite d’âge des fonctionnaires pour lui permettre de travailler jusqu’à la fin des compétitions. »
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Sport

Le Figaro consacre un portrait à Annie Famose (EXEC PROG 93), double médaillée olympique de ski en 1968, devenue depuis cheffe d’entreprise dans l'hôtellerie, la restauration et la location de matériels de sports d'hiver, avec 200 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel et 900 salariés. « Je n'ai jamais vraiment songé à la constitution d'un groupe, ni à un plan de carrière. Tout s'est fait de manière assez empirique, au gré des opportunités. Notre approche est d'abord le fruit d'un savoir-faire de terrain. »
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Les Échos décrivent le cheminement de Stéphane Traineau (EXEC M07), ex champion du monde de judo, depuis qu’il a remisé son kimono. Professeur de sport, entraîneur de l’équipe de France puis de l’équipe du Kazakhstan pour les Jeux Olympiques de Paris 2024, mais aussi fondateur d’une agence de marketing sportif puis créateur d’une solution data permettant de mesurer les performances des athlètes… Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il ne s’est jamais reposé sur ses lauriers.
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Dans Challenges, Sébastien Patrice (HEPTA 27) se réjouit d’intégrer le nouveau Bachelor HEPTA de l’ESSEC quelques semaines seulement après sa médaille de bronze aux Jeux Olympiques de Paris 2024. « Vous n’imaginez pas les sacrifices. C’est très difficile d’allier cours, entraînements et compétitions. Le Bachelor HEPTA, c’est le programme rêvé pour continuer le sport de haut niveau tout en ayant plusieurs cordes à son arc et préparer l’après. »
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L’Info félicite Louise Fontaine (HEPTA 27), athlète réunionnaise qui intègre elle aussi le Bachelor HEPTA de l’ESSEC après avoir obtenu son baccalauréat avec mention très bien et décroché une médaille de bronze en championnat d’Europe. « Ce cursus lui permet de continuer l’escalade de haut niveau en parallèle de ses études. À terme, elle souhaite devenir journaliste sportive. »
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Sur France 2, Charles Rozoy (EXEC PROG 23) témoigne de sa participation, aux côtés du Président de la République, à la cérémonie de remise de la Légion d'Honneur et de l'Ordre du Mérite pour les sportifs français médaillés paralympiques de Paris 2024. « Une occasion extraordinaire de rendre hommage à ceux qui nous ont inspirés par leur talent, leur détermination et leur courage durant ces Jeux uniques. »
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Engagement

Dans Le Monde, Adrien Basdevant (E12) cosigne une tribune « pour le pluralisme algorithmique » à la suite des États généraux de l’information : « Il nous faut sortir du face-à-face entre les géants du numérique et les États qui veulent les policer. Ne cherchons pas à substituer un pouvoir administratif à un pouvoir économique. La solution viendra de l’ouverture et de la décentralisation, qui sont au cœur de la liberté de penser et de communiquer. »
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La Provence rend hommage à Guila Clara-Kessous (E03), ambassadrice de la paix pour l'Unesco qui se mobilise pour renforcer la place des femmes dans le monde du travail. « Elle a signé les Accords de Sarah et Hajar, version féministe des Accords d’Abraham, avec des femmes de différents gouvernements, et elle prépare les Accords de diplomatie féministe africains et européens. Elle va aussi lancer un podcast ‘Women on board’ pour essayer de démystifier ces instances de gouvernance qui doivent proposer un minimum de 30 à 40 % des sièges aux femmes. »
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Dans Forbes, Emmanuelle Blons (EXEC MBA 10) alerte sur la sous-représentation des femmes dans l’intelligence artificielle et la data : « Seuls 30 % des professionnels du secteur sont des femmes. » Parmi ses recommandations pour redresser la situation : mettre en avant des rôles modèles féminins dans ces métiers et créer des programmes de mentorat dédiés.
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France Inter salue le travail de Florence Rizzo (E07) et de son association Ecolhuma qui agit aux côtés des enseignants et chefs d'établissements pour une école plus juste et plus épanouissante. « Nous pouvons améliorer la performance de notre système éducatif si et seulement si nous sommes prêts à reconnaitre collectivement que la méritocratie scolaire est une croyance plus qu’une réalité, et si nous sommes prêts à soutenir les enseignants dans le développement de pratiques pédagogiques génératrices de plus d’équité. »
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Ouest France relaie l’initiative d’Estelle Peyen (M99) qui « utilise les valeurs du sport au travers de sa pratique inédite et décalée XCSS© (ski de fond sur le sable) afin de sensibiliser à la préservation des milieux naturels et pousser à l’action face aux enjeux climatiques » – avec une focale cette année sur la diplomatie de l’eau, à l’occasion notamment du One Water Summit à New-York.
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Experts

Dans Libération, l’avocat Benoît Huet (E08) commente la décision prise par l’Autorité de régulation audiovisuelle (Arcom) d’écarter C8 de la TNT. « La surprise aurait été que leur fréquence soit renouvelée. C’était la chaîne qui avait reçu le plus de sanctions sur le manquement au pluralisme, à l’indépendance, à l’honnêteté de l’information. Des critères qui sont fixés par la loi. »
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Dans Les Échos, Julien Serre (E99), spécialiste en souveraineté, défense et développement, interpelle : « Occultée par les crises en Ukraine et à Gaza, la situation en Somalie est très préoccupante. Le retrait des contingents militaires étrangers expose le pouvoir somalien aux attaques du groupe terroriste Al-Shabaab. Si des mesures de financement ne sont pas rapidement prises, de gros problèmes sécuritaires s'abattront sur le pays. »
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Dans Libération, Emmanuelle Ledoux (M93), directrice générale de l’Institut National de l’Économie circulaire, prend l’exemple de l’agroalimentaire pour constater : « L’économie circulaire est un modèle où l’on observe une myriade d’expérimentations réussies mais peu de passage à une échelle industrielle. En cause, l’absence d’investissements pour construire une offre qui serait suffisamment grande pour répondre à une potentielle demande. »
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Sur BFM TV, Élise Leclerc (E07), directrice du Labo E&MISE ESSEC, introduit son outil pour mesurer la valeur créée par l’entreprise au-delà du critère économique : le Retour Social sur Investissement, ou SROI, qui permet notamment de prendre en compte les 50 millions d'euros de coûts que les licornes à impact évitent à la société chaque année.
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Sur BSmart, Mickaël Berrebi (E13) souligne que la transition écologique des entreprises passera aussi par le dialogue social. Et cite pour preuve une enquête menée avec le Groupe Ifop : « 73 % des salariés ressentent que la transition écologique impacte leur métier ou secteur d’activité. 58 % estiment qu’il est possible d’adapter leur métier ou poste en faveur de la transition écologique. Et 71 % affirment qu’il revient aux dirigeants d’agir et de définir les priorités. »
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Dans Forbes, Lucas Thiery (EXEC M21), directeur stratégique du Digital Medical Hub, attire l’attention sur les failles du financement des startups de la santé en France. « Bien que l’écosystème soit robuste, comme en témoigne l’investissement de près de 1,2 milliard d’euros par Bpifrance en 2023, les défis durant la phase d’industrialisation demeurent significatifs. » Avec à la clé de l’argent public parfois injecté en pure perte et des pépites rachetées par des leaders étrangers.
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Dans Le Figaro, l’essayiste Antoine de Gabrielli (E83) propose six mesures pour renforcer les couples et les familles face aux contraintes de la vie professionnelle. Parmi elles : augmenter de 50 % les places en crèches et permettre la retraite à 60 ans pour un grand-parent gardant à temps plein un petit enfant.
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Sur BFM TV, la chroniqueuse Clara Moley (E13) répond aux questions des téléspectateurs sur « la vraie vie au travail » : « Quand parler d'argent en entreprise ? Comment concilier le fait de promouvoir son travail et celui de s’affranchir de la quête de perfection ? La Gen Z est elle accro à l'IA générative ? Comment se faire recruter quand on porte l'étiquette ‘chômeur’ ? »
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Dans Forbes, Virginie Gozin (EXEC PROG 16), spécialiste de l’accompagnement des changements, affirme qu’il est tout à fait possible de diriger une entreprise en tandem – à condition de respecter certains principes clés. « Ma formule mathématique préférée qui s’applique au management bicéphale : 1 + 1 = 3. Je vous explique : 1 pour vous, 1 pour votre binôme, 1 pour la relation que vous formez tous les 2. »
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Sur BFM TV, David Medioni (M22) se prête au jeu de l’entretien inversé : des étudiants qui challengent des dirigeants. À Emmanuel Rollin, directeur général du leader de l’énergie solaire Iberdrola, il demande : « Comment anticipez-vous le nécessaire renouvellement des équipements de vos éoliennes à horizon 20 ans ? Ces coûts sont-ils pris en compte dans vos investissements ? Et au-delà de la circularité et de la décarbonation, comment convaincre le consommateur de faire le choix du renouvelable quand le nucléaire coûte le même prix ? »
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Entrepreneuriat

Le Figaro retrace le parcours d’Éric Dailey (E86), devenu entrepreneur « par la force des choses » et aujourd’hui à la tête de Tolomei, champion tricolore de la maroquinerie et des chaussures haut de gamme qui emploie 2 100 salariés pour un chiffre d'affaires annuel de 220 millions d'euros. « À l'époque, on m'a dit des dizaines de fois qu'il fallait partir, qu'avec les normes, le coût de la main-d'œuvre, produire en France était impossible, c'était dix fois moins cher en Asie. Mais je trouvais ici une qualité d'exécution, une attention au travail, qu'il n'y avait pas ailleurs. »
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Dans La Tribune, Kammy Brun (EXEC MBA 23), directrice générale de la filiale française de Simera Sense, start-up sud-africaine qui conçoit des caméras pour satellites, officialise l’implantation d’un centre de R&D à Toulouse. « L’entreprise, qui a levé 13,5 millions d’euros au printemps, a déjà fabriqué une soixantaine de caméras dont 19 en orbite et 43 livrées. »
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Sifted met en lumière Sixte de Vauplane (E17) et sa start-up Animaj qui « concurrence Disney et Pixar » avec l’aide de l’intelligence artificielle. « Aujourd’hui, si je veux montrer une cuillère en mouvement, j'ai besoin d'un animateur qui dessine chaque étape de ce mouvement à environ 25 images par seconde. Autrement dit, il produira 2 à 5 secondes d'animation par jour. À terme, notre solution permettra mettre directement les story-board en mouvement, donc de créer 30 secondes de film par jour, voire 500 secondes par jour sous 3 ans. »
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Dans Les Échos, Emmanuel Bilbault (E10), co-fondateur de Posos, annonce son partenariat avec Microsoft pour intégrer la reconnaissance vocale dans son logiciel de prescription médicale. « Plus besoin de cliquer pendant des heures pour trouver le bon médicament et le bon dosage. Désormais, il suffit de dicter naturellement sa prescription pour que celle-ci soit retranscrite et analysée en temps réel par notre solution. Le logiciel est même capable de détecter d'éventuelles erreurs ou interactions médicamenteuses et de proposer des ajustements optimisés selon le profil du patient. » La medtech prévoit aussi une nouvelle levée de fonds pour accélérer son développement à l'international.
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Le Figaro relate la success story de Kévin André (E99), cofondateur de Kawaa, chaîne de cafés-restaurants qui proposent jusqu’à 400 événements par an pour recréer du lien social. « On fait tout pour favoriser les échanges notamment intergénérationnels, pour susciter les accidents de rencontre. » Et ça marche : « 77 % des clients qui poussent la porte de cette entreprise solidaire d’utilité publique rencontrent une personne qu’ils ne connaissaient pas. »
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TF1 relaie l’ouverture du premier magasin de GEEV, start-up de l’économie circulaire cofondée par Florian Blanc (E08). Le principe : vous payez un abonnement annuel qui vous donne accès à l’enseigne où les produits sont… gratuits, récupérés via des dons. « Bilan des deux premiers jours : plus de 1 700 visiteurs et 1 500 objets adoptés... et ce n'est que le début ! Objectif de ce lieu inédit : donner une nouvelle vie à un maximum d’objets, tout en préservant le pouvoir d’achat des Français. »
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Dans Les Échos, Martin Hacpille (E14) raconte « son long chemin pour ouvrir une usine de lave-vaisselle durable et réparable, made in France » sous la marque EverEver. « Après six ans de persévérance, il touche enfin au but : la construction d’une ligne de production à Vannes. Un investissement de 8 à 10 millions d’euros, financé par des fonds privés et une subvention de l’État via le plan France 2030. »
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Sur Maddyness, François Truong (E14), cofondateur de Kidibam, affiche son ambition : « devenir le leader sur le marché du jouet de seconde main » avec son modèle B2B. « La revente sur des sites traditionnels est foncièrement chronophage et fastidieuse pour un résultat peu rentable. Nous reprenons les jouets en lots et proposons un prix global. » Les parents reçoivent une offre de rachat sur simple photo et n’ont pas à se soucier de la revente ; c’est la start-up qui assume le risque. « En l’espace de 18 mois, nous avons déjà collecté le plus gros catalogue du genre en France. »
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Sur BFM TV, Max Herrmann (E20) promeut sa start-up Nopli qui permet aux marques de lancer leur propre offre de seconde main, en onglet sur leur e-shop, en quelques clics. « Pourquoi utiliser notre service plutôt que Vinted ? Primo, vous choisissez votre mode de rémunération : cash ou carte cadeau. Deuxio, votre produit est mieux valorisé : il est matché avec la fiche correspondante du catalogue neuf. Tertio, vous pouvez laisser la marque définir le prix juste. »
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Sur Maddyness, Corentin Dejean (BBA 22), cofondateur d’Ecklo avec Robin Bruneau (BBA 22 & M22), présente sa solution pour tendre vers une logistique plus responsable : une housse réutilisable en alternative au film plastique pour l’emballage des palettes.
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Dans WWD, Laetitia Lumbroso Revenu (E00), cofondatrice de la marque d’accessoires de luxe Destree, révèle qu’elle va ouvrir son flagship store américain à New York, sur la prestigieuse Madison Avenue. Une nouvelle étape de développement pour cette maison qui connaît une forte expansion depuis quelques années, avec une levée de fonds en Série A, une croissance exponentielle en dehors de la France jusqu’aux États-Unis, au Royaume Uni, à la Corée du Sud, au Japon et en Chine, et des produits portés par des stars comme Beyoncé, Rihanna, Demi Moore, Reese Witherspoon, Giselle Bündchen ou encore Sarah Michelle Gellar.
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Sur BSmart, Delphine Lau (EXEC PROG 16), co-fondatrice de Stooly, raconte comment elle a inventé des meubles pliables en carton médaillés d’or au Concours Lépine 2022 – et pourquoi elle est en train de relocaliser sa production de l’Asie vers la France.
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Sur BFM TV, Geoffroy Morin (M21) pitche sa solution Wesur, qui combine comparateur d’assurances personnalisé, application centralisant tous les contrats et conseiller IA disponible 24h/24. « Après un an d’existence, nous comptons plus de 300 000 visiteurs uniques mensuels et près de 20 000 clients. »
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Le Journal de l’Automobile s’intéresse à Rajiv Sumputh (EXEC MBA 21) et à sa start-up Carwayz. « Nous lançons la première solution tout-en-un pour faciliter et optimiser la gestion des missions de convoyage, à destination des concessionnaires, loueurs et flottes automobiles d'entreprises. »
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Capital met en avant Emmanuelle Duez (E12), cofondatrice de Bugali, et « sa drôle de console qui plaît aux enfants et aux parents » : « Il aura fallu quatre ans de R&D pour mettre au point ces ouvrages qui s’animent quand on touche les textes ou les images avec les doigts : bruitages, chansons, musique, histoire racontée… »

Beaux Arts Magazine sélectionne parmi « les galeries qu’il faut visiter à Paris » l’adresse éponyme de Magda Danysz (E98). « Dès 1998, elle fait montre d’un appétit précurseur pour le street art, encore peu représenté sur le marché. Shepard Fairey, JR, ZEVS passent entre ses murs – aux côtés de Chinois comme Liu Bolin et Li Hongbo. »
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Culture & Divertissement

Dans Le Temps, Charles Senard (E04) fête le centenaire de Droz, maison d’édition genevoise qu’il dirige et qui fait référence dans le monde entier pour la littérature française du Moyen Âge et de la Renaissance. « Nous prolongeons le geste humaniste en donnant accès à ces trésors. On ne peut pas lire que de la littérature contemporaine, la littérature classique doit avoir sa part, comme elle l’a toujours eue, dans notre identité. »
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Télérama applaudit la chanteuse Laure Slabiak (BBA 99) alias Blaubird à l’occasion de sa tournée estivale. « Un creuset de styles, d’époques reliés par sa voix de contralto, qui évoque la regrettée Lhasa. Rien d’un hasard : elle a enregistré avec les musiciens de l’artiste américano-mexicaine. Un métissage qu’elle étoffe auprès d’instrumentistes world (tarhu australien) et jazz. »
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France 24 diffuse un reportage sur Cécile Moroni Engevik (E08 - Présidente du Chapter Norvège), ex-directrice générale d’une marque de beauté devenue humoriste à succès sur la scène stand-up d’Oslo. « Mon expatriation en Norvège a été un choc culturel. Mais je me suis lancée dans cette aventure pour cette raison précise. » Et elle en a fait le sel de ses spectacles, qui lui ont récemment valu de décrocher le Trophée Culture/Art de Vivre 2024.
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L’Humanité publie une critique élogieuse de la nouvelle mise en scène de Ronan Rivière (E09), Le Revizor de Nikolaï Gogol, présentée à Avignon cet été. « Le résultat est à la hauteur du projet. Non seulement la pièce est acide comme il se doit, mais elle révèle une force comique mise en avant avec naturel. »
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