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Politique du sport, crise du logement, French Tech, harcèlement scolaire, inclusion, ChatGPT… Les ESSEC dans les médias

Actus des alumni

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16/03/2023

Dirigeants, entrepreneurs, citoyens, experts, culture et divertissement… Les ESSEC font l’actu dans tous les domaines ! Revue de presse.

Dirigeants

Paris Match célèbre les quarante ans du duo d’entrepreneurs formé par Philippe Bénacin (E83) et Jean Madar (E83), cofondateurs d’Interparfums, qui crée les fragrances de marques emblématiques comme Montblanc, Boucheron, Van Cleef & Arpels, Coach, Guess, Jimmy Choo, Monder… « Nous mesurons le chemin parcouru. Voilà trente-cinq ans, nous valions en Bourse 10 millions de dollars, contre plus de 4 milliards aujourd’hui. Pas mal pour une société qui a démarré en 1983, sur les bancs de l’ESSEC, avec seulement 20 000 francs (3 000 euros) et sans expertise. »
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Le Monde fait la lumière sur Amélie Oudéa-Castéra (E02), l’ancienne championne de tennis devenue ministre des sports. « Cette femme, que tous présentent comme pugnace et en quête d’excellence, doit désormais gérer les scandales répétés liés aux présidents des fédérations de rugby et de football, Bernard Laporte et Noël Le Graët. (…) Le monde de l’entreprise où elle a occupé des postes importants pendant une quinzaine d’années connaissait son aptitude à ‘ne rien lâcher’. Mais, pour les gens du sport, c’est une découverte. »
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La Tribune donne la parole à Véronique Bédague (E87), présidente-directrice générale de Nexity : « Déplorant que ses alertes sur la crise du logement restent lettre morte, celle qui fut directrice de cabinet de Manuel Valls à Matignon et pressentie l’an dernier pour prendre la tête du gouvernement met en garde le gouvernement sur le risque social que font planer le manque de logements en France et l’application des mesures environnementales pour éradiquer les passoires thermiques. »
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Le Monde enquête sur Tony Estanguet (M07), « l’autre mascotte des Jeux olympiques », triple médaillé d’or en canoë et président du Comité d’organisation de Paris 2024. « Ses proches le comparent au Britannique Sebastian Coe, président des JO de Londres 2012. La référence dans le domaine des Jeux réussis. Plus qu’un simple rôle d’ambassadeur, le Français revendique son statut de président exécutif du Cojop, assis sur un budget de 4,4 milliards d’euros. ‘Je ne veux pas être juste dans la représentation et le côté symbolique’, explique-t-il. Son imperturbable sourire et sa posture d’homme consensuel cachent un acharné de contrôle, prêt au rapport de force – en particulier avec le monde politique. »
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Les Échos consacrent un portrait à Clara Chappaz (E12), directrice de La French Tech. « Après une formation à l'ESSEC suivie d'un MBA à la Harvard Business School, elle a vadrouillé dans l'écosystème des start-up françaises. Elle y réussit très bien puisqu'elle fut Chief Growth Officer avant de passer Chief Business Officer chez Vestiaire Collective où elle conduisit parallèlement une task force ‘women empowerment’. La voilà à 33 ans chargée de multiplier les scale-up à la tête de la Mission French Tech. »
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Le Monde s’intéresse à Charles de Courson (E74), la « coqueluche » de l’Assemblée, qui détient le record de longévité sur les bancs de l’Hémicycle (7 mandats !), « où il fait la quasi-unanimité » parmi ses pairs, indépendamment de leurs divergences politiques, notamment pour son professionnalisme. « En 2012, l’ancien magistrat à la Cour des comptes a reçu un Prix éthique de l’association Anticor, qui œuvre pour la moralisation de la vie publique, récompensé pour son combat en faveur de la transparence des frais des parlementaires. »
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Dans le cadre de sa série « J’avais 20 ans », Le Monde interroge Cécile Duflot (E00), femme politique et directrice générale d’Oxfam France, sur ses années d’études et son passage à l’âge adulte. « Je suis en désaccord total avec le système d’orientation actuel. Je trouve ça hyperstressant. Donc, je dis aux jeunes : ‘Faites le truc dont vous avez envie, au moment où vous en avez envie.’ Pour savoir qu’on a du désir pour quelque chose, il faut l’avoir expérimenté. Et surtout, pourquoi ne pourrait-on faire qu’un seul métier dans sa vie ? »
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Les Échos retracent le parcours d’Armelle Baudard (E99) : « Passée par la relation client, notamment chez Canal+ et Virgin Mobile, cette diplômée de l'ESSEC est désormais directrice générale déléguée du Groupe Aquarelle, spécialisé dans les métiers de l’attention, qui emploie 130 collaborateurs et a réalisé 40 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2022. »
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Engagement

Agathe Lemaître (M13) fait le tour des médias à l’occasion de la parution de son roman pédagogique Le Livre de Liane (éditions Harper Collins), dans lequel elle raconte l’histoire vraie de sa sœur qui a mis fin à ses jours après avoir été victime de harcèlement scolaire. Un fléau qui touche chaque année plus de 700 000 jeunes, et contre elle se bat désormais en menant diverses opérations de sensibilisation, dont des ateliers autour de son livre dans des centaines de collèges et lycées français, pour libérer la parole.
Voir son témoignage sur Brut, sur RTL et sur France 3
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Sur RTL, Pauline Arnaud-Blanchard (E08) a les honneurs de l’émission La France s’engage pour son action en tant que directrice générale fondatrice de l’association H’up entrepreneurs, qui accompagne 80 000 chefs d’entreprise en situation de handicap. « On a pour rôle de faire émerger des invisibles. C’est une fierté. »
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Sur le site de Têtu, Basile Anthonioz (E17) raconte la genèse de Working Out, programme de mentoring pour LGBTQI+ en entreprise qu’il a cofondé avec Alexandre Oriez (E17) et Vanessa Bottero (E17). « Quand je suis arrivé dans le cabinet de consultant Roland Berger, il n’y avait qu’une seule autre personne qui était out sur 300 salariés. L’entrée dans le monde de l’entreprise coïncide avec un moment où nous ne sommes pas forcément très à l’aise avec cette thématique sur le plan personnel et il apparaît donc plus simple et plus prudent de rester au placard quelques temps. Il m’a fallu deux ans pour gagner en assurance et aussi mieux connaître l’entreprise avant de parler du sujet, d’abord avec des collègues proches puis avec un cercle plus large de collaborateurs et de collaboratrices. C’est de cette expérience qu’est née Working Out, parce que j’aurais aimé être guidé par quelqu’un d’expérimenté à ce moment-là. »
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Les Échos sélectionnent Lou Welgryn (E18) dans son top 2023 des 35 jeunes leaders positifs inspirants. Cofondatrice d’ESSEC Transition Alumni, premier réseau de diplômés d'une grande école consacré aux professionnels de la transition écologique et sociale, elle copréside l'association Data For Good qui rassemble 4 000 experts en data bénévoles autour de projets engagés pour l'intérêt général. Parallèlement, elle est senior carbon data analyst chez Carbon4 Finance qui aide à évaluer précisément la performance et la stratégie climat des entreprises.
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Sur Welcome to the Jungle, l’activiste Benjamin de Molliens (M12), notamment connu pour les défis éco-aventuriers qu’il relève dans le cadre de son initiative Expédition Zéro, appelle à voter des lois « pour rediriger les métiers polluants ». Il explique : « Actuellement, les entreprises qui ne respectent pas la loi sur le bilan carbone en France reçoivent une amende complètement ridicule. Il faut augmenter les niveaux de pénalités de toutes les lois liées à l’écologie pour responsabiliser les entreprises. Aujourd’hui il nous paraît normal d’avoir une amende pour non port de la ceinture de sécurité, là c’est la même chose, il en va de notre survie. »
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Sur Fréquence Protestante, Armelle Gautier (E89) et Loïc Marcé (E07) présentent leur ouvrage Notre grand pari (éditions Alternatiba) dans lequel ils imaginent une Île-de-France qui aurait réussi sa transition environnementale à l’horizon 2050. « On connaît les militants verts pour les marches climats, les actions de désobéissance civile… Mais nous travaillons aussi sur l’imaginaire. Il s’agit de répondre à ceux qui nous accusent d’être des Khmers verts, des Amishs, des objecteurs de croissance. Nous proposons au contraire un futur désirable : nous avons la conviction intime que nous vivrons mieux et plus heureux dans la société écologique. »
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Ancien maire franco-ukrainien de la ville de Hlukhiv et habitant de Kiev, Michel Terestchenko (E79) se confie à 20 Minutes après un an de guerre : « L’Ukraine a beaucoup évolué depuis le début du conflit. En mieux. Elle commence à régler ses problèmes de corruption et de népotisme. Elle se nettoie, elle s’affirme, elle grandit. Elle est plus entreprenante et créatrice. Elle est devenue une nation forte, pleine d’espérance et qui va pouvoir exister comme une grande nation européenne. »
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Sur BSmart, Anne-Claire Pache (E94), directrice de la stratégie et de l'engagement sociétal du Groupe ESSEC, décrit le changement générationnel qui s’opère actuellement sur les bancs de l’école : « Nous l'observons, et ils nous le disent, les étudiants sont actuellement dans une quête très différente de celle d'il y a une vingtaine d'années où l'obsession était de trouver l'entreprise dans laquelle ils allaient pouvoir faire carrière et gagner un maximum d'argent. Nous sommes désormais à des années-lumière de ça. Nous allons davantage souhaiter intégrer une entreprise dont les valeurs nous sont chères, et dans laquelle nous avons l'impression que l'on pourra être utile. Et être soi-même. »
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Entrepreneurs

TF1 dévoile les coulisses du lancement de la marque de maquillage rechargeable Pardi, créée par Léa Egger (E24) et Julie Zimmermann et incubées à l’ESSEC. Après 2 ans de recherche et développement, la start-up lance « le premier mascara en verre avec une brosse réutilisable et des ingrédients upcyclés ». Les journalistes de l’émission Grands Reportages ont suivi les dernières heures de leur campagne de financement participatif, leur premier jour de production dans leur usine normande puis leurs premiers pas au Salon Made In France.
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Les Échos saluent le flair de Coline Burland (E11) qui a su convaincre son associé de réorienter son projet initial pour développer avec succès Omie & Cie, épicerie en ligne qui vend des produits alimentaires durables, tracés et rémunérateurs pour les agriculteurs. Aujourd’hui, la jeune pousse lève 15 M €.
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Sur BFM TV, Delphine Lau (EXEC PROG 16) présente la marque qu’elle a co-fondée, Stooly, qui propose du mobilier d’appoint en carton alvéolé. « Cette solution permet aux gens qui habitent dans de petits appartements d’accueillir du monde avec du mobilier à la fois facile à ranger, design et durable. » Rentable tout en se finançant exclusivement sur ses fonds propres, l’entreprise s’apprête à doubler ses effectifs.
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Les Échos mettent en avant l’application Nota Climat, co-créée par Elsa Chai (E16). « Ce nouveau Yuka du climat aide les consommateurs à débusquer le greenwashing et privilégier des marques qui font de réels efforts pour réduire leurs émissions de CO2. »
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RFI tend son micro à l’entrepreneuse franco-malgache Jeimila Donty (E17), qui restaure les écosystèmes marins avec sa start-up Koraï. « Nous avons ouvert notre première nurserie de coraux à Nosy Be et ambitionnons de nous étendre d'abord à Madagascar à moyen terme puis dans d'autres pays d'Afrique. »
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Europe 1 distingue Juan Londoño Leon (E18 & M19), fondateur de Yeasty, parmi « les entrepreneurs positifs qui s’engagent pour le monde de demain ». Son innovation : des produits protéinés à partir de levures de bière et à destination des industriels de l’agro-alimentaire. « On estime que 15,6 % des émissions de gaz à effet de serre sont dues à la consommation de produits animaux. Il est impératif de trouver des sources alternatives de protéines, plus durables. »
Écouter l’émission (à partir de 24'02)

Challenges se penche sur Kikleo, start-up cofondée par Martin d’Agay (E22) et Vincent Garcia (E22) qui s’engage dans la lutte contre le gaspillage alimentaire en développant des solutions technologiques pour mieux gérer les surplus de nourriture dans la restauration collective. Le fonctionnement : « Une caméra d’analyse réalise plusieurs clichés des plateaux repas à la fin d’un service. Ceux-ci sont traités par des algorithmes qui permettent d’analyser en détail le contenu : les différents types d’aliments jetés (féculents, viandes, légumes, etc.), leur poids, leur coût financier et leur empreinte carbone. Les données ainsi créées sont analysées par des experts capables de présenter des solutions concrètes et réalistes à toutes les parties prenantes du projet. »
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Sur le site Tech in Asia, Nathanaël Faibis (E10), cofondateur de la plateforme Alodokter leader de l’es-santé en Indonésie, annonce le lancement d’un assistant virtuel pour docteurs basé sur l’intelligence artificielle. « We use conversational AI to prescreen patients through a series of questions and provides prediagnosis recommendations to Alodokter’s telemedicine doctors. »
Lire l’article (en anglais) 

Sur BFM TV, Yacine Achiakh (E14) introduit Wisear, interface neurale qu’il a créée et qui permet de piloter des appareils numériques grâce aux mouvements du visage. « Les objets technologiques mobiles se développent et nous accompagnent dans tous nos déplacements. Nous avons ainsi besoin de trouver de nouvelles modalités d’interface homme-machine qui laissent les mains libres et qui ne passent pas par la voix, car on ne veut pas toujours être entendu dans un lieu public. »
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Sur le site du Dauphiné Libéré, Quentin Bertrand (E08) détaille l’offre de sa plateforme Quaeso qui permet aux marques de faire participer leurs clients à l’élaboration de leurs produits et à l’amélioration de leurs services. « Notre solution constitue en outre un moyen de fédérer une communauté sur le long terme. »
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Dans Le Parisien, Quentin Demeestère (E09) alerte : « Deux managers sur trois ont des difficultés à gérer leurs équipes. » Partant de ce constat, il s’est associé à Johann Molinari (E09) pour créer Popwork, solution qui facilite le dialogue entre un collaborateur et son n+1. « L’usage est simple. Le manager définit avec chacun de ses collaborateurs une fréquence pour se voir et faire le point. La veille du rendez-vous, le collaborateur doit répondre à quelques questions sur son ressenti, ses réalisations, ses priorités, ses points de blocage et tout autre sujet qu’il aimerait aborder. (…) Aussitôt, le manager peut en prendre connaissance, personnaliser ses questions ou piocher dans une liste proposée par Popwork. ‘Ça l’aide à structurer la discussion’. »
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Sur Radio Classique, Thomas Donati (M09) raconte comment il a réussi à reprendre et développer l’activité familiale de fabrication d’anches de clarinette, aujourd’hui implantée dans le Var sous le nom de Steuer. « C’est du travail, un savoir-faire, des équipes motivées. Mais c’est aussi savoir saisir des opportunités. J’ai suivi un programme unique en France, 10,000 Small Businesses France (10K SB), porté par l’ESSEC et la fondation Goldman Sachs, qui accompagne les chefs d’entreprise dans l’élaboration de leur plan de croissance. Ça dure quatre mois, il y a deux sessions par ans. En plus d’être utile et concret, c’est une formidable aventure humaine. »
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Experts

Sur CNews, Benjamin Brice (E07) répond aux questions de Frédéric Taddeï sur son livre La Sobriété gagnante. « Nous vivons au-dessus de nos moyens. On le voit à notre déficit commercial : nous importons beaucoup plus que nous exportons. C’est la même chose sur le plan écologique : l’importation de produits manufacturiers et d’énergie ont des conséquences très lourdes en termes d’émissions de gaz à effet de serre, d’extraction, etc. (…) La solution selon moi, que j’expose dans mon livre, c’est baisser nos importations matérielles. »
Voir l’émission (à partir de 18'50)
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Sur France Inter, Mounir Laggoune (BBA 13), spécialiste des placements financiers à la tête de Finary, dénonce « ces spéculateurs qui font grimper artificiellement les prix » dans l’ombre de la guerre en Ukraine et de la crise énergétique. « Il faut savoir que le marché des matières premières est dominé par les machines. Ce sont des ordinateurs qui affolent les cours. Et cela va très loin puisque les fonds spéculatifs vont placer leurs centres de données le plus près possible de l’endroit où le marché va réceptionner les ordres pour être sûr que la donnée transite plus vite que celle de leurs concurrents. Ceux qui savent exploiter cela peuvent générer des profits énormes. »
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Sur le site Voxlog, Philippe-Pierre Dornier (E85), professeur à l'ESSEC et fondateur du cabinet de conseil Newton Vauréal Consulting, analyse pourquoi la supply chain connaît des augmentations et des contractions très rapides ces dernières années. Il décrit un cycle d’alternance entre des périodes d’approvisionnement massif par crainte des pénuries liées à des crises comme le COVID-19 ou la guerre en Ukraine et des phases de purge des stocks provoquant l’effondrement de la demande et des taux de fret. Un effet de balancier qu’il compare avec les montagnes russes, et qui n’est selon lui pas près de se stabiliser.
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Sur BFM TV, Rémi Seners (E07), directeur associé au BCG, clarifie ce que le monde publicitaire entend par « retail media », présenté comme enjeu stratégique majeur pour les acteurs de la grande distribution, avec un potentiel de 100 000 milliards d’euros. « Il s’agit de capitaliser sur trois types d’actifs. Primo : les données, actifs de connaissance client. Deuxio : les médias, actifs d’accès au client – magasin, site e-commerce… Tertio : les opérations commerciales, actifs d’activation du client. »
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Sur le site Décision Achats, Romaric Servajean-Hilst (E99), directeur académique du MAI Executive Education de Kedge et chercheur à Polytechnique, retranscrit et analyse l’échange étonnant qu’il a eu avec ChatGPT sur le sujet des délais de paiements dans les relations grands groupes - PME. « Pour rappel, les retards de paiement en France coûtent 14 milliards de trésorerie aux PME française. Ils sont la cause de 12 000 à 15 000 défaillances d'entreprise en France, soit 50 000 pertes d'emploi chaque année. (…) Le plus intéressant avec cette intelligence artificielle est qu'en allant chercher sur Internet – sur une base de données vieille d'il y a plus d'un an – elle vient révéler tout haut ce que certains disent tout bas : l'impact financier en terme de trésorerie dégradée comme de frais supplémentaires, l'impact en cascade sur les fournisseurs que les entreprises auront du mal à payer à l'heure, la baisse de confiance entraînée… »
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Dans Le Figaro, Sami Biasoni (E08), docteur en philosophie de l'École normale supérieure et chargé de cours à l'ESSEC, se questionne : ChatGPT est-il bien-pensant ? Après avoir retranscrit les tests auxquels il a soumi l'outil conversationnel pour déterminer s'il était teinté d'une idéologie, il conclut : « En voulant éviter l'influence des dérives liées aux mauvaises passions humaines lorsque certains esprits s'expriment trop librement, les promoteurs de ChatGPT ont a minima créé la première IA parfaitement bien-pensante : parfois radicalement néo-progressiste, souvent prudemment modérée, cultivant habilement la rhétorique du ‘en même temps’. Il s'agit, en somme et comme d'autres peuvent l'être, d'un produit caricatural de son époque. »
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Les Échos partagent les bonnes feuilles du guide Entreprendre pour le bien commun publié aux éditions Vuibert par Léa Zaslavsky (E13) et Hélène Binet, respectivement co-fondatrice et porte-parole de makesense, solution d’accompagnement pour les entrepreneurs à impact. « On voit bien que la société ne tourne pas rond, que les inégalités vont croissant, que le climat déraille, que les ressources s'épuisent, que l'éco-anxiété gagne du terrain : mais de quel côté tirer le fil de la révolution ou de la transformation ? (…) Prends le temps de questionner tes motivations profondes et de prioriser les sujets qui te concernent avant de te lancer. Parce qu'à vouloir régler tous les problèmes, on n'en résout généralement aucun. (…) Bien cerner un enjeu, c'est ce qui permet de faire la différence entre une idée qui change profondément une facette du monde et une autre qui n'a un impact qu'en surface, voire pas du tout. »
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Dans la Harvard Business Review, Jérôme Barthélémy (E93), professeur et directeur général adjoint de l’ESSEC, s’interroge : une entreprise peut-elle à la fois œuvrer pour le bien commun et être rentable ? « Si ce débat n’a jamais été tranché, c’est qu’il a été mal posé. Les entreprises devraient plutôt se poser la question suivante : dans quels cas est-il possible de concilier bien commun et rentabilité ? La réponse est étonnamment simple. Une stratégie qui prend en compte les enjeux sociétaux et environnementaux peut être rentable… mais uniquement si elle permet de réduire les coûts ou d’accroître le chiffre d’affaires d’une entreprise. »
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Sur France Inter, Sophie Rosso (E08), directrice générale adjointe du promoteur immobilier Redman, appelle à baisser la TVA sur les matériaux biosourcés, géosourcés et issus du réemploi dans la construction. « Le système actuel est absurde. Comme il n’y a pas de taxe carbone, cela reste moins cher de construire un bâtiment à base de béton ou de ciment que de bâtir un bâtiment vertueux. Je pense que l’on va à l’envers. En 2023, on ne peut pas continuer comme ça. »
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Sur BFM TV, Guillaume Paoli (E95), co-fondateur d’Aramis Group, résume les enseignements contenus dans son ouvrage Réussir en équipes (éditions Eyrolles), où il explique comment les méthodes du lean management et de l’intelligence collective ont permis à sa plateforme de vente de voitures d’occasion de dépasser le milliard de chiffre d’affaires et de concilier satisfaction des clients et épanouissement des collaborateurs.
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Sur Europe 1, Franck Pétel (EXEC PROG 03), professeur en pratique managériale et titulaire de la chaire Immobilier et développement durable à l'ESSEC, décrypte le succès du coworking depuis la crise sanitaire : « Le télétravail doit être synonyme de travail flexible, pas de travail à domicile. »
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Dans la Harvard Business Review, la coach Guila-Clara Kessous (E03) alerte sur le « burn-out love » à la double occasion de la Saint Valentin et de la Journée internationale du burn out au travail, qui partagent la même date. « Cette concomitance n’est pas si fortuite. Quand on observe les cerveaux d’une personne souffrant de burn out et d’une personne amoureuse, on se rend compte que les deux souffrent de certains ‘troubles neurologiques’ similaires. En effet, certaines aires sont partiellement désactivées, comme le cortex préfrontal médian, qui joue un rôle dans le jugement critique. L’amour et le burn out rendent aveugles. »
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Retrouvez aussi Guila-Clara Kessous le 14 avril lors du Gala ESSEC, dont elle marraine l’édition 2023 : prendre vos places

Sur BFM TV, Ludovic de Gromard (E11) explique comment Chance, la solution « psytech » qu’il a développée, peut aider à mieux se connaître pour s’épanouir dans sa vie professionnelle. « On assiste en France à une grande démission mentale, à une crise de l’engagement et du sens au travail. Les collaborateurs comme les RH ont intérêt à ce que chacun trouve sa place dans l’entreprise. » Comment l’algorithme peut-il nourrir cette réflexion ? « Notre parcours inclut une étape d’auto-coaching : deux heures seul avec la machine, incluant des vidéos, des tests, des questions, qui viennent nourrir par la data l’intervention de notre coach professionnel. »
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Découvrir aussi le partenariat Chance x ESSEC Alumni 

20 Minutes donnent 5 étoiles au podcast Ma dernière séance de psychanalyse animé par Guillaume Bonnet (BBA 09). « Alors que tous les participants confient au micro la fin d’un parcours et d’une relation longs parfois de plusieurs années, on se prend à attendre le prochain épisode, comme un patient accro à son psy. Sans voyeurisme ni impudeur, le programme donne simplement et sobrement à voir la complexité en chacun de nous. Cet excellent podcast ne remplacera pas une séance sur le divan. Mais il vous convaincra peut-être de prendre votre premier rendez-vous. »
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La Libre livre une critique élogieuse de L’écologie d’intérieur, manuel de savoir-vivre éco-responsable publié aux éditions Eyrolles par Marie Quéru (M04). « L’écologie d’intérieur est ‘une philosophie de l’essentiel qui propose d’accroître notre bien-être personnel, tout en ayant un impact environnemental et sociétal positif’. Au minimalisme, une notion immédiatement associée à ‘quantité minimale, donc privation’, l’autrice préfère le terme ‘essentialisme’, ‘plus juste car il décrit un rapport sain à l’objet, où nous ne gardons que ce qui est essentiel pour nous’. »
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Culture & Divertissement

Les Échos célèbrent la « réussite à contre-courant » du magazine Society, porté par Franck Annese (E00), à l’occasion de son 200ème numéro. « Après huit ans d'existence, Society continue de faire mentir ceux qui ne croient plus dans la presse papier. Avec plus de 45 000 exemplaires par numéro en moyenne, le bimensuel, rentable, est devenu incontournable dans le paysage des newsmagazines. »
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France Culture relaie la parution du dernier roman de Constance Debré (E99), Offenses, aux éditions Flammarion« L'écrivaine interroge la frontière entre le bien et le mal à travers le récit fictif du meurtre d'une octogénaire par un jeune homme de seize ans. Dans un texte court et incisif, cette ancienne avocate pénaliste plonge dans les affres de notre société pour y questionner le fonctionnement de la justice au XXIe siècle et, plus largement, la condition humaine. »
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Paris Première diffuse la deuxième saison d’Archibeau, émission sur le design et l’architecture co-animée par Jean Desportes (E06), tous les dimanches à 12h35. « C’est la beauté intérieure qui compte… Trouvez votre déco chez des artisans locaux, des objets et des lieux uniques, des plans pour chiner. »
Voir la bande-annonce

 

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