Égalité F-H, Europe, santé mentale, droit du sol… Les ESSEC dans les médias

Management, économie, entrepreneuriat, tech, géopolitique, engagement… En France comme à l’international, les ESSEC font l’actu dans tous les domaines ! Revue de presse.

Leadership

Sur BSmart, Adrien Ledoux (E06), président-directeur général et cofondateur de JobTeaser, licorne française du recrutement et de l'orientation des jeunes talents, évoque la genèse de son entreprise, lancée en pleine crise économique, et son approche du management. « L’humilité, c’est important. Pour créer une équipe soudée, il faut éviter les excès d’ego et être capable de se séparer d’un profil excellent mais qui ne sait pas jouer collectif. »
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Stratégies consacre un portrait à Samuel Loiseau (E98), directeur général des opérations d’UGC. « Il a commencé par contrôler les tickets en Ligue 1 à Angers. Puis il est passé chez SFR, PMU et Fnac Darty. Aujourd’hui, il mène la transformation digitale de son réseau de 50 salles de cinéma : il a notamment doublé la part des entrées dématérialisées pour atteindre 80 % de l’ensemble. »
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Engagement

Dans Challenges, Fanny Picard (E92), présidente fondatrice du leader de l’investissement à impact Alter Equity, témoigne de son engagement pour l’égalité femmes-hommes. « Un tiers de nos entreprises sous gestion comptent au moins une femme dans leur équipe fondatrice, à comparer aux 12,5 % affichés par le Next 40/120. Nous demandons désormais à nos participations d’intégrer au minimum 30 % de femmes au sein de leur comité exécutif et de désigner un responsable de la diversité. Et même si ce n’était pas un objectif au départ, nos effectifs sont désormais féminins à 79 %. »
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Dans La Tribune, Albin Serviant (E92) alerte : « Si 85 % des Français déclarent accepter l'homosexualité, les délits et agressions contre les personnes LGBT se comptent par milliers et progressent de 17 % par an depuis 2016, comme si l'acceptation sociale avait désarmé la vigilance face à une hostilité toujours plus décomplexée. » C’est pourquoi il a cofondé The Pigment Project, nouveau think & do tank agissant pour un environnement sûr et propice au bien-être de tous et toutes.
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Sur Radio Classique, Stéphane Cicolella (E96), directeur général d’elmy, expose comment son entreprise parvient à offrir de l’énergie 100 % renouvelable et 100 % française tout en affichant des prix aussi voire plus compétitifs que les opérateurs nucléaires et carbonés. « Nous achetons des électrons aux petits producteurs locaux, contribuant à leur inclusion dans le système électrique. »
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Les Échos saluent l’initiative de Jérôme Adam (E00) qui a récemment lancé le fonds philanthropique Tout pour être heureux dédié à la santé mentale des jeunes et de leur entourage. « Nous finançons des actions visant à déployer les compétences psychosociales (CPS) qui, selon Santé publique France, feraient reculer la consommation d’alcool de 30 %, celle de tabac de 20 %, les comportements violents et agressifs de 25 % et les symptômes de dépression de 20 %. »
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France Bleu Occitanie donne la parole à Nathalie Antoine (E86) à l’occasion de la publication de son guide Rebondir après un burn-out aux éditions Baudelaire. « Quand j’ai fait mon burn-out, j’ai manqué d’un accompagnement en parallèle de la prise en charge médicale pour me reconstruire. J’ai beaucoup tâtonné, découvert la méditation pleine conscience, le qi gong, la psychologie positive… Aujourd’hui, j’essaie de faire gagner du temps à mes lecteurs touchés par les mêmes difficultés. »
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Expertises

Sur France Inter, l’historien Patrick Weil (E80) débusque les idées reçues sur le droit du sol. « La France n'a pas le droit du sol comme l'Amérique. Si on naît aux États-Unis de deux parents étrangers, on est immédiatement américain. En France, pas du tout, c'est toujours conditionnel. » On ne peut en effet obtenir la nationalité qu’à partir de 13 ans, avec l'autorisation des parents, à condition de justifier de cinq ans de scolarité sur le territoire. « C’est un droit républicain parce qu’il tient compte de l'école. Donc c'est quelque chose de construit de façon intelligente, fondé sur l'éducation et la socialisation. »
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Dans Les Échos, Bernard Spitz (E82), président de BS Consulting, livre sa vision des premières décisions géopolitiques de Donald Trump. « Le pays qui avait créé les règles de l’antitrust s’octroie le monopole des nouvelles technologies ; le père de la Société des Nations rompt avec le multilatéralisme ; le garant occidental de la paix tourne le dos à ses alliés… On appelle cela un Blitzkrieg. Pour l’Europe, la clé sera notre capacité à agir de même pour forcer les États-Unis au compromis. »
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Dans la Harvard Business Review, Batoul Hassoun (E07), présidente-directrice générale de The Salmon Consulting, s’interroge : dans un contexte de plus en plus insécurisant où les crises s’enchaînent et où les services publics reculent, l’entreprise pourrait-elle devenir l’environnement le plus protecteur pour les citoyens ? « Demain, un CDI aura peut-être plus de valeur qu’un passeport ! Mais si nous suivons cette voie, comment ne pas retomber dans le paternalisme du XIX^e siècle ? Comment éviter trop d’intrusion dans la vie privée ? Et quels devoirs seront-ils exigés des collaborateurs en échange des avantages offerts ? »
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Sur Arte, l’expert en science politique Benjamin Brice (E07) analyse la boussole de compétitivité européenne. « Si pour gagner en compétitivité, on augmente notre dépendance extérieure (en misant sur le gaz russe ou américain), on remet en cause nos efforts écologiques (alors qu'on a l'ambition d'être un modèle) ou on accroît la fracture sociale (qui rend impossible tout effort collectif), il est clair que ce que nous gagnons d'un côté sera amplement perdu de l'autre. Du côté de la Chine et des États-Unis, ce qui oriente les décisions politiques, ce n'est pas la compétitivité, ce sont les intérêts nationaux. »
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Sur Radio Classique, Olivier Sichel (E89), directeur général par intérim du Groupe Caisse des Dépôts, veut rassurer sur l’encours record du Livret A. « Non seulement ce produit garantit les sommes déposées ainsi que leur liquidité, mais il les fait aussi travailler. Il constitue le premier financeur du logement social et du logement intermédiaire et sert également à financer des projets d'intérêt général portés par des collectivités territoriales, comme la rénovation de l'école de votre ville, la rénovation des réseaux d'eau ou encore le développement de la mobilité verte. Quant à la baisse du taux, elle permet aux bailleurs sociaux une économie très significative des intérêts d’emprunt, de l’ordre de 800 M€ en année pleine, soit environ 25 000 nouveaux logements, et elle maintient le rendement à un niveau supérieur à l’inflation. »
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Sur le site L'Info durable, Rémy Gerin (E84), directeur exécutif  de la Chaire Grande Consommation de l'ESSEC, appelle à ne pas torpiller la CSRD. « Nos entreprises en Europe sont nombreuses à avoir entrepris des choses formidables, et depuis longtemps, aux chapitres clef de l’ESG. Torpiller la CSRD reviendrait à accorder une très jolie prime aux moins bonnes, et créer une instabilité réglementaire préjudiciable pour les entreprises qui ont fait de la durabilité un axe stratégique de leur développement. »
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Dans La Tribune, Louis Raynaud de Lage (E14), Senior Manager au sein du cabinet de conseil Bartle, affirme : « La CSRD n'est pas un fardeau, mais un outil de résilience des entreprises ! » Et détaille : « Depuis plus de vingt ans, les chercheurs se penchent sur les liens entre critères ESG et performance économique. Résultat : dans près de 90 % des cas, les critères ESG ne pénalisent pas la performance et même, dans la plupart des situations, ils l'améliorent. »
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Dans Les Échos, l’économiste Laurence Daziano (EXEC MBA 04) dresse le bilan du Sommet de Paris sur l’IA. « L’enjeu pour les entreprises européennes est de former et développer de nouvelles compétences pour disposer d’une main d’œuvre plus instruite et adaptable. Un des handicaps importants de l’UE est justement la rétention des talents, attirés par des salaires plus élevés et de meilleures opportunités de carrière, notamment aux États-Unis. Nous entrons dans une époque de guerre des talents. »
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Sur France Inter, Lou Welgryn (E18), secrétaire générale de Data for Good et cofondatrice du Club Transition d’ESSEC Alumni, dénonce les dessous de l’intelligence artificielle. « Avant même de se poser la question des biais avec lesquelles on entraîne un algorithme, il faut avoir en tête que la manière dont on modélise le monde relève toujours d’une certaine vision. Aujourd'hui, celle qui domine vise à la mise en place d'un système d'exploitation global : exploitation du travail de millions de personnes sous-payées principalement dans les pays du Sud ; exploitation des ressources naturelles avec une explosion de la demande en électricité et en eau qui crée des tensions très fortes partout dans le monde ; exploitation des données qui reproduisent et amplifient de manière inédite les inégalités. »
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Dans Le Monde, Matthieu Heslouin (E94), directeur exécutif de l’accompagnement chez Bpifrance, constate : « Si l’IA est pleine de promesses pour doper la productivité et la croissance, son adoption par les entreprises françaises reste encore timide, notamment dans les plus petites structures : moins d'une PME sur trois utilise l’IA générative. Parmi les freins : la complexité des outils et les interrogations sur le retour sur investissement. »
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Dans Forbes, Cyrille Adam (M22) tire les enseignements des interventions qu’il mène auprès des grandes entreprises avec son Yield Studio, spécialisé dans le développement web et mobile : « Elles claquent des budgets énormes pour des projets mal pensés qui finissent par rester inutilisés. Résultat : des millions d’euros gaspillés, une dette technique ingérable et une frustration généralisée. Le problème ? Beaucoup abordent encore l’enjeu des logiciels comme un sujet purement IT, alors que c’est avant tout une question produit et business. »
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Sur BFM TV, Rémi Douchet (E05), cofondateur d’iVesta Family Office, et Audrey Soussan (E11), General Partner chez Ventech Capital, partagent leurs conseils pour investir de manière responsable. D’un côté, pas d’angélisme : « Regarder les labels n’est pas suffisant, 1/3 des fonds classifiés articles 9 par la réglementation européenne SFDR ne sont pas à impact. Et l’offre ne pèse que 1 % des encours en France : il reste trop tôt pour construire une allocation patrimoniale diversifiée totalement vertueuse. » De l’autre, des vraies perspectives : « 2/3 des fonds spécialisés ciblent une performance au moins équivalente aux fonds traditionnels. »
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Anne-Sophie Moreau (E10) fait le tour des médias pour présenter son essai Fermentations, récemment paru aux éditions du Seuil. Un ouvrage qui documente comment l’alimentation, mais aussi la cosmétique, la médecine, l’économie ou le design vantent aujourd’hui les vertus du pourri, et pourquoi cette tendance révèle une transformation profonde du rapport au corps, à la santé, à la nature, au vivant, et même au politique.
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Entrepreneuriat

Sur Maddyness, Cédric Curtil (E95), directeur de CentraleSupélec Ventures, dévoile les coulisses de ce « fonds d’alumni » grâce auquel des diplômés expérimentés financent les projets des plus jeunes tout en générant des retours pour l’écosystème de l’école. « Nous avons développé un modèle Data-Driven qui nous permet de traiter efficacement les plus de 600 dossiers reçus en un an. Lorsqu’un projet nécessite un avis externe, nous sollicitons rapidement une dizaine de souscripteurs via notre plateforme, en accord avec la start-up. Cela permet d’obtenir des insights pointus tout en respectant la confidentialité. »
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Les Échos annoncent que la start-up Wavo, fondée par Adrien Plat (BBA 08), lève 3,5 M €, notamment auprès de Tony Parker, pour aider les TPE-PME à financer leurs stocks. « Les banquiers se montrent réticents à ces dossiers peu rentables et difficiles à évaluer selon eux. Un trou dans la raquette suffisamment significatif pour nous pousser à proposer un mécanisme alternatif, basé sur des algorithmes de scoring. »
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France 2 consacre un reportage à la start-up Kikleo, cofondée par Martin d’Agay (E22) et Vincent Garcia (E22), qui remédie au gaspillage alimentaire dans les restaurants universitaires. « Nous installons des caméras qui analysent chaque plateau pour déterminer ce qui est consommé et ce qui est laissé de côté. Ces données sont ensuite exploitées sur notre plateforme pour aider les équipes de cuisine à ajuster les portions tout en préservant l’équilibre des repas. Les résultats parlent d'eux-mêmes : quand en moyenne 100 g de nourriture sont jetés par personne et par repas en France, cette quantité descend à 11 g avec notre solution. »
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Sur BSmart, Elsa Chai (E16) présente Open Climat, plateforme qu’elle a créée pour aider les entreprises à partager les données dont elles disposent sur leurs actions environnementales. « La transparence permet d’accélérer la collaboration entre les différents acteurs de la chaîne de valeur, d’inspirer des solutions concrètes entre parties prenantes, et de transformer des efforts isolés en une réponse concertée et systémique. »
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Dans Le Maine Libre, Alexandra Legmann Pelletier (E09) retrace comment elle est passée de l’agroalimentaire dans des grands groupes en Chine à la reprise de la biscuiterie artisanale Drans, à Sablé. « Quand j’ai commencé à travailler, je pensais que comme mes parents je ne connaîtrais qu’une seule entreprise. Mais la vie est longue. Il faut s’écouter et chercher ce qui rend heureux. »
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International

Sur CNBC Arabia, Alexandre Salem (E11), Executive Vice President MENA & APAC du studio de jeux vidéos suédois Stillfront, décrypte les évolutions de son secteur depuis 10 ans : « Tous les indicateurs sont au vert. Plus de joueurs, plus de revenus par joueur, plus de supports, et plus de contenus et de langues, notamment grâce à l’IA. Sans oublier un changement majeur de perception : le gaming n’est plus considéré comme une activité de geek ou de nerd. »
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Sur Rfi, Adeline Pelage (E15) raconte pourquoi elle a choisi de rentrer au Cameroun après des années d’expatriation – et comment elle a développé Bobo, marque premium de biscuits made in Africa. « Nous employons déjà 7 personnes. Le but : atteindre une vingtaine de salariés. »
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