Nombreux sont les ESSEC ayant choisi la voie de l’industrie ! À l’heure de la réindustrialisation, ils endossent une lourde responsabilité : celle d'engager les jeunes générations vers une nouvelle image de l'industrie. 

Car nous le savons : les objectifs de notre réindustrialisation sont ambitieux. Sa réussite dépendra d'actions réglementaires et administratives, certes, mais aussi de la mobilisation de toutes les forces vives de l'industrie, de la start-up au grand groupe. Si nous craignons de manquer de compétences pour créer 600 000 emplois d'ici à 2035, ce ne sont pas les formations qui font défaut : ce sont les candidats. Et même lorsque les candidats se forment, seule une partie d’entre eux cherchera effectivement un emploi dans l'industrie ; c’est ce que la Fabrique de l’industrie appelle le taux d’évaporation.

Comment aller chercher les jeunes générations ? De nombreux collectifs se constituent à cette fin pour promouvoir un nouveau sens au travail : celui de produire en accord avec les ressources de nos territoires. Parmi eux, les associations d’alumni des Grandes Écoles sont incontournables.

L’ESSEC, forte de son ADN pionnière et engagée, ne peut passer à côté de cet enjeu. La réindustrialisation "verte" que nous connaissons n'est pas un effet de mode ; elle est un phénomène profond par lequel produire devient un nouveau projet de société. Les alumni de l'ESSEC qui s'engagent au quotidien pour l'industrie sont une fierté ; fédérons-les au sein d’une communauté agissante fidèle à nos valeurs, qui facilitera leur quotidien et valorisera leur engagement !